Les événements de ces derniers mois ont changé la donne. Ils ont entraîné une quête accrue de sens au travail, mais aussi l’envie d’un meilleur cadre de vie.
Suite au choc de la crise sanitaire, 31% des recruteurs* prédisent de nouvelles attentes des candidats en termes d’équilibre de vie personnelle et professionnelle. Le désir de changer pour un quotidien moins stressant et un coût de la vie moindre gagnerait du terrain, notamment parmi les citadins, Parisiens en tête.
Selon une étude Hellowork**, 42% des Franciliens en quête d’un emploi recherchent hors Ile-de-France (contre seulement 13% des Bretons). Les nouvelles perspectives offertes par le télétravail, avec la possibilité pour le conjoint de conserver son emploi en cas de déménagement, pourraient bien en encourager d’autres à sauter le pas.
Outre la mobilité géographique, l’envie de se sentir utile aux autres s’est affirmée ces derniers mois. La pandémie, avec le coup de projecteur sur les métiers dits « essentiels », a accentué le phénomène.
La famille des métiers du « care », dont fait partie l’optique, bénéficie d’un contexte favorable. Les prévisions d’embauche y sont 2 fois plus importantes qu’au niveau national, et ceci dans toute la France. Quant à l’état d’esprit des opticiens, il est positif : selon un sondage exclusif que nous avons réalisé début 2021 (Quel est votre moral en ce début d’année 2021 ?), 27% d’entre eux se disent « optimistes et confiants » quant à l’avenir.
L’occasion pour les jeunes de la Génération Y (ou Génération « Why ? ») de trouver la solution à une équation complexe : exercer un métier qui a du sens dans un cadre de vie choisi.
*Enquête réalisée par le site emploi Monster auprès de 404 professionnels du recrutement, de genre, d’âges et de secteurs différents en novembre 2020.
** Étude réalisée sur la base des offres consultées par 3,1 millions d’utilisateurs des plateformes du groupe HelloWork (RegionsJob et ParisJob) en septembre 2020.
BeOpticien.fr : je m’inscris
